Les lois visant à lutter contre le gaspillage alimentaire s'étendent désormais à la restauration et à l'industrie, et non plus à la seule distribution. Une nouvelle filière, associant des compétences numériques et logistiques, se structure autour de start-up telles que Phenix, Comerso ou Too Good To Go.
Une ordonnance étend depuis le 1er janvier 2020 l'obligation de lutte contre le gaspillage alimentaire à la restauration collective privée, jusqu'ici imposée aux restaurants et selfs publics. Parallèlement, la loi Garot, qui interdisait depuis 2016 à la grande distribution de détruire les aliments invendus, concerne désormais la restauration collective mais aussi l'industrie agroalimentaire. La loi Garot a eu le mérite de faire naître une foule d'initiatives associatives ou des applications, telles que The Food Life ou Linkee.
Plusieurs start-up se sont déjà positionnées sur ce nouveau marché avec un modèle économique original. Elles font l'intermédiation entre les associations et les distributeurs, ces derniers les rémunérant au prorata des volumes valorisés pour réduire leurs gâchis, bénéficier d'un crédit d'impôt et pour éviter de payer une taxe de destruction.
Source : www.lesechos.fr/pme-regions/centre-val-de-loire... - 14/01/20
Une ordonnance étend depuis le 1er janvier 2020 l'obligation de lutte contre le gaspillage alimentaire à la restauration collective privée, jusqu'ici imposée aux restaurants et selfs publics. Parallèlement, la loi Garot, qui interdisait depuis 2016 à la grande distribution de détruire les aliments invendus, concerne désormais la restauration collective mais aussi l'industrie agroalimentaire. La loi Garot a eu le mérite de faire naître une foule d'initiatives associatives ou des applications, telles que The Food Life ou Linkee.
Plusieurs start-up se sont déjà positionnées sur ce nouveau marché avec un modèle économique original. Elles font l'intermédiation entre les associations et les distributeurs, ces derniers les rémunérant au prorata des volumes valorisés pour réduire leurs gâchis, bénéficier d'un crédit d'impôt et pour éviter de payer une taxe de destruction.
Source : www.lesechos.fr/pme-regions/centre-val-de-loire... - 14/01/20