Cette étude de l’Observatoire des Métiers de l’alimentation analyse les premiers pas des jeunes femmes apprenties dans les cœurs de métier de l’alimentation encore majoritairement exercés par des hommes.
En résumé :
- ¼ des apprentis de l’alimentation sont des femmes
- Ces apprenties sont plus âgées : 39% ont moins de 18 ans contre 50% pour les hommes
- Le métier est le plus souvent une vocation d’enfance affirmée
- 43% des apprenties ne sont pas satisfaites de l’orientation qu’elles ont reçu. Elles regrettent une insuffisance d’informations et un encouragement plus insistant que pour les garçons à poursuite leur étude via la voie scolaire générale ou technologique
- Elles se sont davantage réorientées après un parcours en lycée générale et technologique ou universitaire
- Elles indiquent avoir eu plus de difficultés à trouver une entreprise pour réaliser leur apprentissage
Les apprenties estiment qu’elles font pour le même métier, le même travail en entreprise que les hommes et qu’à ce titre, il n’y a pas de différence.
La conciliation vie familiale / vie professionnelle, est posée en cas d’horaires décalés. Elles mettent plus en avant que face à une problématique de garde d’enfants par exemple, les alternatives sont alors un passage dans la grande distribution ou dans l’enseignement.
Source : www.observatoire-metiers-alimentation.fr - 12/10/23
En résumé :
- ¼ des apprentis de l’alimentation sont des femmes
- Ces apprenties sont plus âgées : 39% ont moins de 18 ans contre 50% pour les hommes
- Le métier est le plus souvent une vocation d’enfance affirmée
- 43% des apprenties ne sont pas satisfaites de l’orientation qu’elles ont reçu. Elles regrettent une insuffisance d’informations et un encouragement plus insistant que pour les garçons à poursuite leur étude via la voie scolaire générale ou technologique
- Elles se sont davantage réorientées après un parcours en lycée générale et technologique ou universitaire
- Elles indiquent avoir eu plus de difficultés à trouver une entreprise pour réaliser leur apprentissage
Les apprenties estiment qu’elles font pour le même métier, le même travail en entreprise que les hommes et qu’à ce titre, il n’y a pas de différence.
La conciliation vie familiale / vie professionnelle, est posée en cas d’horaires décalés. Elles mettent plus en avant que face à une problématique de garde d’enfants par exemple, les alternatives sont alors un passage dans la grande distribution ou dans l’enseignement.
Source : www.observatoire-metiers-alimentation.fr - 12/10/23