Comment le marché de la formation professionnelle va-t-il évoluer d’ici 2025 ? Quelles sont les tendances qui émergent au sein du jeu concurrentiel ? Pour répondre à ces questions, Xerfi a analysé les stratégies des organismes de formation pour adultes. Cinq axes sont notamment mis en lumière :
- l’adaptation du catalogue de formations,
- la transformation numérique qui s’affirme à travers les stratégies digitales,
- les acteurs de la formation diversifient également leurs activités de différentes manières : vers le conseil et l’accompagnement, vers l’alternance et l'apprentissage, ou encore vers la gestion de l’externalisation.
- les efforts sur l’image de marque et la qualité perçue.
- les acteurs travaillent aussi leur couverture géographique, soit pour privilégier la proximité avec les clients, soit pour se développer à l’international.
Une parenthèse dorée se referme-t-elle pour les organismes de formation professionnelle ? Certes, la demande répond toujours massivement présente grâce à des mesures réglementaires hyper-favorables à l’emploi et l’apprentissage. Sans compter les transformations de l’économie, liées au digital ou à la décarbonation, qui obligent à développer de nouvelles compétences, sur fond de pénuries de personnel. N’oublions pas aussi que les exigences de qualité se renforcent, via Qualiopi ou le durcissement de l’inscription au RS/RNCP. Un tour de vis qui va indéniablement assainir le marché pour le plus grand bonheur des acteurs les mieux positionnés, selon la dernière étude Xerfi Precepta.
Toutefois, les besoins de formation et de reconversion sont tels en France que le système de financement s’en trouve profondément déstabilisé. À tel point que les deux locomotives du marché, à savoir les aides à l’apprentissage et l’accès aux formations CPF, menacent d’être réajustés par les pouvoirs publics. Autre risque important : les entreprises pourraient de leur côté limiter leurs dépenses de formation afin de réduire leurs coûts alors que le contexte économique se dégrade.
Source : www.xerficanal.com - 10/01/23
- l’adaptation du catalogue de formations,
- la transformation numérique qui s’affirme à travers les stratégies digitales,
- les acteurs de la formation diversifient également leurs activités de différentes manières : vers le conseil et l’accompagnement, vers l’alternance et l'apprentissage, ou encore vers la gestion de l’externalisation.
- les efforts sur l’image de marque et la qualité perçue.
- les acteurs travaillent aussi leur couverture géographique, soit pour privilégier la proximité avec les clients, soit pour se développer à l’international.
Une parenthèse dorée se referme-t-elle pour les organismes de formation professionnelle ? Certes, la demande répond toujours massivement présente grâce à des mesures réglementaires hyper-favorables à l’emploi et l’apprentissage. Sans compter les transformations de l’économie, liées au digital ou à la décarbonation, qui obligent à développer de nouvelles compétences, sur fond de pénuries de personnel. N’oublions pas aussi que les exigences de qualité se renforcent, via Qualiopi ou le durcissement de l’inscription au RS/RNCP. Un tour de vis qui va indéniablement assainir le marché pour le plus grand bonheur des acteurs les mieux positionnés, selon la dernière étude Xerfi Precepta.
Toutefois, les besoins de formation et de reconversion sont tels en France que le système de financement s’en trouve profondément déstabilisé. À tel point que les deux locomotives du marché, à savoir les aides à l’apprentissage et l’accès aux formations CPF, menacent d’être réajustés par les pouvoirs publics. Autre risque important : les entreprises pourraient de leur côté limiter leurs dépenses de formation afin de réduire leurs coûts alors que le contexte économique se dégrade.
Source : www.xerficanal.com - 10/01/23