L’Association des territoires pour des solutions solidaires a commandé à l’IFOP une étude sur les Français et l’alimentation. Celle-ci révèle des pratiques alimentaires et des préoccupations
8 Français sur 10 sont intéressés par les questions liées à l’alimentation dont 32 % déclarent l’être beaucoup et 51% assez. Le sujet n’est pas perçu de la même manière en fonction de l’âge, des revenus ou de la sensibilité politique.
La préservation de l’environnement via des pratiques alimentaires vertueuses est peu présente dans les réponses des Français. Elle ne séduit que 8 % de la catégorie modeste (900 à 1 300 euros), 11 % de la tranche pauvre, et 15 % des segments moyen inférieurs (1 300 à 1 900 euros), et aisé. Un faible score à relativiser car cet item arrive quand même quatrième dans la liste des préoccupations.
Top 3 des solutions privilégiées par les Français pour résoudre les problèmes liés à l’alimentation: «redonner à la France les moyens de son autonomie alimentaire» (36 %) ; «garantir un revenu suffisant aux agriculteurs» (32 %) et «retrouver des modes de production et de distribution plus humains et plus proches» (coopératives, marchés locaux, circuits courts 30 %).
Enfin, le sujet de la souffrance animale, commence à émerger...
Source : www.ifop.com - 27/01/22
8 Français sur 10 sont intéressés par les questions liées à l’alimentation dont 32 % déclarent l’être beaucoup et 51% assez. Le sujet n’est pas perçu de la même manière en fonction de l’âge, des revenus ou de la sensibilité politique.
La préservation de l’environnement via des pratiques alimentaires vertueuses est peu présente dans les réponses des Français. Elle ne séduit que 8 % de la catégorie modeste (900 à 1 300 euros), 11 % de la tranche pauvre, et 15 % des segments moyen inférieurs (1 300 à 1 900 euros), et aisé. Un faible score à relativiser car cet item arrive quand même quatrième dans la liste des préoccupations.
Top 3 des solutions privilégiées par les Français pour résoudre les problèmes liés à l’alimentation: «redonner à la France les moyens de son autonomie alimentaire» (36 %) ; «garantir un revenu suffisant aux agriculteurs» (32 %) et «retrouver des modes de production et de distribution plus humains et plus proches» (coopératives, marchés locaux, circuits courts 30 %).
Enfin, le sujet de la souffrance animale, commence à émerger...
Source : www.ifop.com - 27/01/22