La charpente, Gilles Coudert est tombé dedans quand il était petit. Fils et petit-fils de charpentiers, le travail du bois s’est imposé à lui comme une évidence.
Après avoir fait ses armes auprès des Compagnons du Devoir de Haute-Vienne et du Maine et Loire, il part en Nouvelle-Calédonie. Là-bas, il devient co-gérant d’une entreprise spécialisée dans les chantiers sur des îles désertes ou dans des zones difficilement accessibles. Une première expérience, qui deviendra le fil rouge de sa carrière.
A son retour en France en 2010, il crée son entreprise, Kaori Constructions, spécialisée dans l’ossature bois, la couverture et les fondations. Il a alors 23 ans. Aujourd’hui, il emploie un salarié et deux apprentis.
Après avoir fait ses armes auprès des Compagnons du Devoir de Haute-Vienne et du Maine et Loire, il part en Nouvelle-Calédonie. Là-bas, il devient co-gérant d’une entreprise spécialisée dans les chantiers sur des îles désertes ou dans des zones difficilement accessibles. Une première expérience, qui deviendra le fil rouge de sa carrière.
A son retour en France en 2010, il crée son entreprise, Kaori Constructions, spécialisée dans l’ossature bois, la couverture et les fondations. Il a alors 23 ans. Aujourd’hui, il emploie un salarié et deux apprentis.
« Notre objectif, c’est d’être le moins invasifs possible, aussi bien pour nos clients que pour l’environnement », relate Gilles Coudert. « Quand on fait une extension de maison, on travaille chez les gens. Il faut donc que le chantier reste propre et qu’on se fasse les plus discrets possibles. »
L’artisan a donc investi dans du matériel très coûteux. « Ces engins me permettent d’aller partout, y compris dans des endroits difficiles d’accès, sans abîmer le terrain. Ils fonctionnent grâce à un moteur électrique, ce qui réduit considérablement le bruit. C’est un confort pour mes clients, et pour mes équipes. »
Cet investissement, Gilles Coudert a pu le faire grâce à l’aide de la Chambre de métiers et de l’artisanat. « Grâce à deux conseillers, j’ai monté un dossier de demande d’aide régionale. Ils m’ont conforté dans l’idée que j’obtiendrai cette aide, et ils ne se sont pas trompés : je vais bientôt la percevoir », se réjouit le chef d’entreprise. « Sans leurs conseils, je n’aurais pas pris le risque d’investir autant. La CMA a été ma ligne de vie. »
L’artisan a donc investi dans du matériel très coûteux. « Ces engins me permettent d’aller partout, y compris dans des endroits difficiles d’accès, sans abîmer le terrain. Ils fonctionnent grâce à un moteur électrique, ce qui réduit considérablement le bruit. C’est un confort pour mes clients, et pour mes équipes. »
Cet investissement, Gilles Coudert a pu le faire grâce à l’aide de la Chambre de métiers et de l’artisanat. « Grâce à deux conseillers, j’ai monté un dossier de demande d’aide régionale. Ils m’ont conforté dans l’idée que j’obtiendrai cette aide, et ils ne se sont pas trompés : je vais bientôt la percevoir », se réjouit le chef d’entreprise. « Sans leurs conseils, je n’aurais pas pris le risque d’investir autant. La CMA a été ma ligne de vie. »
Gilles Coudert a aussi imaginé un système ingénieux de fondations, à base de vis non invasives pour l’environnement. « Ces vis nous permettent de construire sur des terrains difficiles, comme les bords de lacs ou de rivières. Récemment, on a travaillé sur les restaurants de plage de Saint-Tropez. »
Cette innovation lui a valu de remporter en 2018 le prix « Responsable » du concours Stars&Métiers, co-organisé par la CMA et la Banque Populaire.
« Ce prix nous apporte énormément de crédibilité, surtout vis-à-vis des donneurs d’ordre public. C’est un véritable atout. »
Cette innovation lui a valu de remporter en 2018 le prix « Responsable » du concours Stars&Métiers, co-organisé par la CMA et la Banque Populaire.
« Ce prix nous apporte énormément de crédibilité, surtout vis-à-vis des donneurs d’ordre public. C’est un véritable atout. »
LES CHIFFRES CLES
Un réseau de proximité au service des 165 000 entreprises artisanales et de leurs 202 000 salariés :
➡ 96 élus, 1550 collaborateurs, 36 points de contact (sièges départementaux, antennes, ainsi que les sites de formation).
➡ 10 CFA, 16 sites de formation, 12 000 apprentis (28 % des apprentis de Nouvelle-Aquitaine).
Retrouvez les coordonnées de votre Chambre de métiers et de l'artisanat départementale
[FOCUS] ENVIRONNEMENT
En Nouvelle-Aquitaine, il y a près de 18 000 artisans qui exercent une activité de réparation (selon 36 codes d’activités identifiés).
Tous ces artisans sont référencés dans l’annuaire de la réparation sur les sites : C'est quoi un Répar'Acteur ?
C'est un artisan de la réparation qui met à l’honneur la réparation plutôt que l’achat d’objets neufs. Acteur de la réduction des déchets, il dispense des conseils d’utilisation et d’entretien pour prolonger la durée de vie de vos objets. Il s'engage à sensibiliser sa clientèle avec un kit de communication et en participant à des actions de promotions sur son métier et savoir faire.
Pour appuyer cette démarche, les Chambres de métiers et de l’artisanat, avec le soutien de l’ADEME, ont déployé un label, Repar’acteurs permettant aux artisans de la réparation de promouvoir l’acte de réparer et de se positionner en tant qu’acteur de la réduction des déchets.
Aujourd'hui, 630 artisans de la réparation sont des Répar'Acteurs en Nouvelle-Aquitaine.
En savoir +
Tous ces artisans sont référencés dans l’annuaire de la réparation sur les sites : C'est quoi un Répar'Acteur ?
C'est un artisan de la réparation qui met à l’honneur la réparation plutôt que l’achat d’objets neufs. Acteur de la réduction des déchets, il dispense des conseils d’utilisation et d’entretien pour prolonger la durée de vie de vos objets. Il s'engage à sensibiliser sa clientèle avec un kit de communication et en participant à des actions de promotions sur son métier et savoir faire.
Je répare… et ça repart !Véritable maillon de l’économie circulaire, réparer participe à la réduction de nos déchets en prolongeant la vie des objets pour en finir avec le tout jetable, développer l’économie circulaire et réduire les émissions de gaz à effet de serre liées à la production et au transport.
Pour appuyer cette démarche, les Chambres de métiers et de l’artisanat, avec le soutien de l’ADEME, ont déployé un label, Repar’acteurs permettant aux artisans de la réparation de promouvoir l’acte de réparer et de se positionner en tant qu’acteur de la réduction des déchets.
Aujourd'hui, 630 artisans de la réparation sont des Répar'Acteurs en Nouvelle-Aquitaine.
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