
Avec le soutien financier
de la Région Nouvelle-Aquitaine.
Après 48 ans de coups de ciseaux, de mèches et de balayages, Nadine Moreau prépare doucement son départ à la retraite. Dans quelques mois, elle devrait ranger définitivement brosses et pinces. Car à 62 ans, cette coiffeuse historique d’Ecoyeux s’est enfin décidée à prendre sa retraite.
Installée à son compte depuis 1983, celle qui a commencé la coiffure dès l’âge de 14 ans a une détermination sans faille. Après avoir fait ses gammes chez deux Meilleurs Ouvriers de France, elle cherche une place au début des années 1980. Elle tombe sur une annonce dans un petit journal, et pense qu’il s’agit d’un poste de coiffeuse. « Mais en réalité, la personne cherchait un repreneur. Je n’avais pas prévu d’ouvrir mon salon mais, en réfléchissant, je me suis dit que si je ne saisissais pas cette opportunité, quelqu’un d’autre allait le faire à ma place ! Et que dans quelques années, quand je voudrais m’installer, j’aurais une personne de plus à dégommer », plaisante la coiffeuse. Alors, du haut de ses 24 ans, elle se lance dans l’entreprenariat. Et la suite, Nadine Moreau la résume à merveille, avec beaucoup d’humour : « Je n’ai pas réussi ma vie amoureuse, mais j’ai réussi ma carrière professionnelle ! »
Installée à son compte depuis 1983, celle qui a commencé la coiffure dès l’âge de 14 ans a une détermination sans faille. Après avoir fait ses gammes chez deux Meilleurs Ouvriers de France, elle cherche une place au début des années 1980. Elle tombe sur une annonce dans un petit journal, et pense qu’il s’agit d’un poste de coiffeuse. « Mais en réalité, la personne cherchait un repreneur. Je n’avais pas prévu d’ouvrir mon salon mais, en réfléchissant, je me suis dit que si je ne saisissais pas cette opportunité, quelqu’un d’autre allait le faire à ma place ! Et que dans quelques années, quand je voudrais m’installer, j’aurais une personne de plus à dégommer », plaisante la coiffeuse. Alors, du haut de ses 24 ans, elle se lance dans l’entreprenariat. Et la suite, Nadine Moreau la résume à merveille, avec beaucoup d’humour : « Je n’ai pas réussi ma vie amoureuse, mais j’ai réussi ma carrière professionnelle ! »
D’ailleurs, en 2013, la coiffeuse décroche son titre de Maître Artisan. « C’est la CMA qui en a fait la demande pour moi. Ça a été une très belle récompense. Elle est venue valoriser mon travail, que j’ai toujours exercé avec beaucoup de passion. »
Mais à la soixantaine passée, le confinement du printemps 2020 a été une sorte de déclic pour Nadine Moreau. « Pendant deux mois, mon salon a été fermé. Ça ne m’était jamais arrivé. Je me suis rendu compte que j’avais consacré ma vie à la coiffure, mais que je n’avais pas pensé à moi. » Alors, l’artisane se décide à vendre son affaire. « J’ai contacté ma conseillère à la CMA. Elle m’a aiguillée sur les démarches à faire pour la cession du salon. Elle m’a conseillée sur le prix à proposer, sur ma retraite, etc. On a fait plusieurs rendez-vous ensemble. Elle m’a été d’une aide précieuse. Et puis un jour, elle m’a appelée pour me dire qu’une jeune femme cherchait justement un salon ! »
Alors que le projet de rachat était en passe d’aboutir, il a finalement échoué. « Mais la CMA a été d’une réactivité incroyable et s’est tout de suite mise à m’aider à trouver un nouveau repreneur. J’en suis très reconnaissante. » Aujourd’hui, les démarches sont en cours et Nadine Moreau reste confiante. « J’ai entièrement confiance en la CMA, je sais que mon projet de cession va aboutir. »
Alors que le projet de rachat était en passe d’aboutir, il a finalement échoué. « Mais la CMA a été d’une réactivité incroyable et s’est tout de suite mise à m’aider à trouver un nouveau repreneur. J’en suis très reconnaissante. » Aujourd’hui, les démarches sont en cours et Nadine Moreau reste confiante. « J’ai entièrement confiance en la CMA, je sais que mon projet de cession va aboutir. »
LES CHIFFRES CLES
Un réseau de proximité au service des 165 000 entreprises artisanales et de leurs 202 000 salariés :
➡ 96 élus, 1550 collaborateurs, 36 points de contact (sièges départementaux, antennes, ainsi que les sites de formation).
➡ 10 CFA, 16 sites de formation, 12 000 apprentis (28 % des apprentis de Nouvelle-Aquitaine).
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