Un projet de mandature collectif et tourné vers demain
Nous vivons actuellement une période de transformation de la société sans précédent, souvent comparée à une nouvelle révolution industrielle, tant elle vient bouleverser le rapport aux autres, au temps, au travail, aux valeurs… Le monde change et les demandes des artisans évoluent elles aussi à la vitesse des changements sociétaux. Ils attendent, de la part de leurs partenaires et du réseau des CMA, une prestation de qualité, réactive, performante et accessible. En tant que consommateurs de services, les artisans désirent que les CMA s’engagent dans une relation client créatrice de valeur pour leur entreprise et capable de faciliter et d’accompagner leur adaptation, notamment face aux enjeux de la transformation numérique.
Nos services vont s’adapter, changer de posture, être plus agiles et permettre de révéler davantage le potentiel de chacun des artisans de notre territoire. Nous allons accompagner la transformation numérique des entreprises et des chambres et accompagner la montée en compétences des collaborateurs (GPEC...).
La CRMA va déployer son projet de mandature avec ses partenaires, au premier rang desquels figurent la Région et l’Etat.
Ce sont les défis que nous avons collectivement choisis de relever autour de 3 actions prioritaires : le développement économique (avec une stratégie régionale d’accompagnement des entreprises et des territoires), la formation (avec une réponse numérique innovante aux besoins en compétences de l’artisanat) et l’innovation (avec le renforcement de la performance grâce à la mutualisation des fonctions supports).
Nos services vont s’adapter, changer de posture, être plus agiles et permettre de révéler davantage le potentiel de chacun des artisans de notre territoire. Nous allons accompagner la transformation numérique des entreprises et des chambres et accompagner la montée en compétences des collaborateurs (GPEC...).
La CRMA va déployer son projet de mandature avec ses partenaires, au premier rang desquels figurent la Région et l’Etat.
Ce sont les défis que nous avons collectivement choisis de relever autour de 3 actions prioritaires : le développement économique (avec une stratégie régionale d’accompagnement des entreprises et des territoires), la formation (avec une réponse numérique innovante aux besoins en compétences de l’artisanat) et l’innovation (avec le renforcement de la performance grâce à la mutualisation des fonctions supports).
L’artisanat Néo-Aquitain confirme sa dynamique de progression
Les chiffres clés 2018 sont formels : avec 137 170 entreprises artisanales inscrites au 1er janvier, l’artisanat Néo-Aquitain continue de croître (+5,1% sur un an, +4,5% depuis 2010), tiré par les métiers des services (45 912 entreprises, +6,3% depuis 2010) et du bâtiment (56 304, +3,6%).
Les 17 700 immatriculations enregistrées l’an passé et la stabilité des emplois salariés (chiffres 2016) à l’échelle du territoire confirment que la création d’entreprise est, en Nouvelle-Aquitaine comme ailleurs, également une solution de sortie de crise ou du chômage. A noter que l’artisanat fait vivre près de 336 000 personnes (196 400 salariés,140 000 dirigeants) sur les 12 département de la nouvelle région avec une capacité de formation essentielle pour les emplois de demain : 15 000 apprenti.e.s se forment actuellement dans les entreprises artisanales. Mais aussi pour les emplois d’aujourd’hui, avec de nouveaux publics, et notamment grâce à l’expérimentation menée avec le conseil régional pour l’apprentissage des 26-30 ans. Des jeunes qui ont souvent suivi une voie scolaire qui n’a pas pu les conduire jusqu’à un métier et souvent un premier emploi.
Ce constat conduit le réseau des métiers à s’investir très fortement dans la chaine de l’orientation et de l’insertion pour tous les publics, parfois très en amont auprès des jeunes avec l’appui aux stages en entreprises. Il conforte notre volonté de travailler au plus près des entreprises et des territoires pour répondre aux besoins réels d’emploi et de formation. Et renforce notre conviction que le numérique permettra d’ajuster plus rapidement les compétences aux besoins immédiats.
Autant de données à prendre sérieusement en compte, d’autant plus que l’artisanat travaille pour l’économie de proximité (78%), pour une économie non délocalisable et qui concourt, avec une entreprise pour 42 habitants, au maillage du territoire. Habitué des réformes, notre secteur devra cette année encore trouver les moyens de s’adapter aux changements à venir et qui vont directement impacter les entreprises (fiscales et sociales) et le réseau des CMA (apprentissage, seuils des micro-entreprises…).
Les 17 700 immatriculations enregistrées l’an passé et la stabilité des emplois salariés (chiffres 2016) à l’échelle du territoire confirment que la création d’entreprise est, en Nouvelle-Aquitaine comme ailleurs, également une solution de sortie de crise ou du chômage. A noter que l’artisanat fait vivre près de 336 000 personnes (196 400 salariés,140 000 dirigeants) sur les 12 département de la nouvelle région avec une capacité de formation essentielle pour les emplois de demain : 15 000 apprenti.e.s se forment actuellement dans les entreprises artisanales. Mais aussi pour les emplois d’aujourd’hui, avec de nouveaux publics, et notamment grâce à l’expérimentation menée avec le conseil régional pour l’apprentissage des 26-30 ans. Des jeunes qui ont souvent suivi une voie scolaire qui n’a pas pu les conduire jusqu’à un métier et souvent un premier emploi.
Ce constat conduit le réseau des métiers à s’investir très fortement dans la chaine de l’orientation et de l’insertion pour tous les publics, parfois très en amont auprès des jeunes avec l’appui aux stages en entreprises. Il conforte notre volonté de travailler au plus près des entreprises et des territoires pour répondre aux besoins réels d’emploi et de formation. Et renforce notre conviction que le numérique permettra d’ajuster plus rapidement les compétences aux besoins immédiats.
Autant de données à prendre sérieusement en compte, d’autant plus que l’artisanat travaille pour l’économie de proximité (78%), pour une économie non délocalisable et qui concourt, avec une entreprise pour 42 habitants, au maillage du territoire. Habitué des réformes, notre secteur devra cette année encore trouver les moyens de s’adapter aux changements à venir et qui vont directement impacter les entreprises (fiscales et sociales) et le réseau des CMA (apprentissage, seuils des micro-entreprises…).