L'objectif de ce programme est de changer les habitudes d'achat qui négligent souvent la réparation, de mettre fin aux effets néfastes de la fast fashion et de favoriser une "économie circulaire où les produits durent plus longtemps" dans cette industrie, considérée comme l'une des plus polluantes au monde.
Concrètement, les consommateurs pourront bénéficier d'une aide pouvant aller jusqu'à 25 euros de la part de l'État pour faire réparer leurs chaussures. Par exemple, il en coûtera environ 8 euros pour recoller une semelle et entre 10 et 25 euros pour réparer une doublure. Il est à noter que, dans un premier temps, les sous-vêtements et le linge de maison ne seront pas éligibles à ce dispositif.
Mais quand cette aide sera-t-elle disponible ?
Elle sera mise en place dès que 500 couturiers et cordonniers seront référencés auprès de l'éco-organisme Refashion et bénéficieront du fameux "fonds de réparation" bien connu des professionnels du secteur. Elsa Chassagnette, responsable de ce fonds, vise une mise en place à l'automne. Pour l'instant, la moitié des objectifs de labellisation ont été atteints, avec déjà 250 artisans ayant déposé leurs dossiers.
Il convient de souligner que ce fonds bénéficiera d'un investissement de 150 millions d'euros sur une période de six ans, avec pour objectif d'accroître de 35 % le nombre de produits textiles et chaussures réparés.
Les artisans sont au cœur de cette initiative, car le bonus de réparation textile encouragera les consommateurs à se rendre chez les artisans partenaires situés à proximité. Comme l'a souligné la secrétaire d'État, il est essentiel que personne ne doive parcourir 50 ou 100 kilomètres pour faire réparer ses vêtements.
Pour surmonter cet obstacle, le ministère a déjà annoncé que les labels seront accessibles sans condition de taille pour les entreprises candidates et sans obligation de s'affilier à une marque. "Il est essentiel que tous les cordonniers, ateliers et enseignes rejoignent ce label proposé par ReFashion", a précisé la ministre, convaincue que ce dispositif pourrait attirer un afflux de consommateurs vers ces artisans.
Il est à noter que Refashion a lancé une émission en ligne qui prodigue des conseils pour trier, réparer ou transformer les pièces abîmées, inutilisées ou en fin de vie.
Concrètement, les consommateurs pourront bénéficier d'une aide pouvant aller jusqu'à 25 euros de la part de l'État pour faire réparer leurs chaussures. Par exemple, il en coûtera environ 8 euros pour recoller une semelle et entre 10 et 25 euros pour réparer une doublure. Il est à noter que, dans un premier temps, les sous-vêtements et le linge de maison ne seront pas éligibles à ce dispositif.
Mais quand cette aide sera-t-elle disponible ?
Elle sera mise en place dès que 500 couturiers et cordonniers seront référencés auprès de l'éco-organisme Refashion et bénéficieront du fameux "fonds de réparation" bien connu des professionnels du secteur. Elsa Chassagnette, responsable de ce fonds, vise une mise en place à l'automne. Pour l'instant, la moitié des objectifs de labellisation ont été atteints, avec déjà 250 artisans ayant déposé leurs dossiers.
Il convient de souligner que ce fonds bénéficiera d'un investissement de 150 millions d'euros sur une période de six ans, avec pour objectif d'accroître de 35 % le nombre de produits textiles et chaussures réparés.
Les artisans sont au cœur de cette initiative, car le bonus de réparation textile encouragera les consommateurs à se rendre chez les artisans partenaires situés à proximité. Comme l'a souligné la secrétaire d'État, il est essentiel que personne ne doive parcourir 50 ou 100 kilomètres pour faire réparer ses vêtements.
Pour surmonter cet obstacle, le ministère a déjà annoncé que les labels seront accessibles sans condition de taille pour les entreprises candidates et sans obligation de s'affilier à une marque. "Il est essentiel que tous les cordonniers, ateliers et enseignes rejoignent ce label proposé par ReFashion", a précisé la ministre, convaincue que ce dispositif pourrait attirer un afflux de consommateurs vers ces artisans.
Il est à noter que Refashion a lancé une émission en ligne qui prodigue des conseils pour trier, réparer ou transformer les pièces abîmées, inutilisées ou en fin de vie.