Confrontées à une situation économique inédite et complexe, les brasseries françaises subissent de plein fouet l’inflation. 1 brasserie sur 10 déclare envisager une fermeture définitive cette année, comme le révèle la nouvelle enquête réalisée par Brasseurs de France et la CPME.
Face à un marché complexe en ce début d’année 2023 (entre -3% et -5% pour le 1er trimestre 2023, par rapport à 2022), les brasseurs doivent faire face à une hausse de leur coût de revient. Ainsi, selon l'enquête, la hausse des prix de revient peut aller jusqu’à +50% et a minima 10% pour 2 entreprises sur 3.
30% de nos brasseries n’ont pas répercuté la hausse du prix de l'énergie sur leur prix de vente, et seulement 61% d’entre elles indiquent l’avoir répercutée partiellement.
Un manque à gagner qui pénalise leur trésorerie : 70% des dirigeants observent une baisse de leur trésorerie au 1er semestre 2023, par rapport au semestre précédent.
Au total, plus des 2/3 des brasseurs constatent que leur entreprise va plus mal au 1er semestre 2023 qu’au semestre précédent.1 brasserie sur 10 envisage aujourd’hui d’arrêter définitivement son activité. Ce sont les 6500 emplois du secteur brassicole artisanal et indépendant qui sont en jeu.
Sources : www.snbi-france.fr - 07/03/23
brasseurs-de-france.com - 16/05/23
www.lefigaro.fr - 19/05/23
Face à un marché complexe en ce début d’année 2023 (entre -3% et -5% pour le 1er trimestre 2023, par rapport à 2022), les brasseurs doivent faire face à une hausse de leur coût de revient. Ainsi, selon l'enquête, la hausse des prix de revient peut aller jusqu’à +50% et a minima 10% pour 2 entreprises sur 3.
30% de nos brasseries n’ont pas répercuté la hausse du prix de l'énergie sur leur prix de vente, et seulement 61% d’entre elles indiquent l’avoir répercutée partiellement.
Un manque à gagner qui pénalise leur trésorerie : 70% des dirigeants observent une baisse de leur trésorerie au 1er semestre 2023, par rapport au semestre précédent.
Au total, plus des 2/3 des brasseurs constatent que leur entreprise va plus mal au 1er semestre 2023 qu’au semestre précédent.1 brasserie sur 10 envisage aujourd’hui d’arrêter définitivement son activité. Ce sont les 6500 emplois du secteur brassicole artisanal et indépendant qui sont en jeu.
Sources : www.snbi-france.fr - 07/03/23
brasseurs-de-france.com - 16/05/23
www.lefigaro.fr - 19/05/23